Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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samedi 11 octobre 2014

Sonríe, estás en cámara

Habituellement, ce qui se partage sur les rezossossios 
aurait plutôt tendance à me désespérer de la race humaine.

Cependant, tels des petits joyaux perdus au milieu des déchets 
qui traînent sur la grande poubelle qu'est le net, 
voici deux clips qui m'ont fait lever un sourcil, 
voire les commissures (de peau lisse) labiales.

Maintenant, je ne me suis pas amusé à aller vérifier si c'est du bidon, hein...


Trop mignon et hyper bonne initiative.
Embauchez une meute de clebs comme ça chez AirFrance et six mois après, 
tout le chenil est en grève.




A prendre au degré que vous voulez.
Personnellement, je trouve ça très drôle, 
même si ce n'est sans doute pas l'objectif premier.

vendredi 10 octobre 2014

El Hombre detrás de la Máscara (film)


Synopsis
"Lorsque la légende du sport et du cinéma El Santo fête son 70e anniversaire, son fils commence sa carrière de catcheur sous le nom de El Hijo del Santo. Ce documentaire nous emmène loin du ring, dans les souvenirs et les archives personnelles de cette famille. C’est en partant sur les traces de son enfance aux côtés d’un père à la double identité et souvent absent, qu’on découvre un héros du quotidien, motivé par la volonté de perpétuer la légende."



Film présenté le dimanche 12 et lundi 13, dans le cadre des rencontres Viva Mexico. 
Ça se passe Porte des Lilas à Paris (t'habites porte des lilas ?)


Foute

« Les deux chefs d’équipe : Couchetapania pour la France et Dupont pour l’Eczéma, 
échangent des fanions et des poignées de main en attendant d’échanger des coups de pied.

Le coup d’envoi est donné. 
Aussitôt l’équipe de France prend le meilleur, comme disent les comptes rendus sportifs.

Il faut voir cette envolée, les gars ! Chmizblik passe la balle à Kravachetavach, 
qui la passe à Rigoletto, qui descend vers les buts adverses.

Aujourd’hui, l’équipe de France parait être en état de grâce. 
Rigoletto vient de feinter un joueur adverse, et de faire une passe à Yabon Banania, 
ce dernier place un coup de pied retourné et… sa chaussure mal lacée arrive sur la frime 
du goal qui part à dame.

Kriss Kraft, le goal français, a été trompé par la feinte de Cépatasseur et l’Eczéma 
marque un premier but. »

Ce texte date 1960 et sert d'introcuction à l'excellent ouvrage « San-Antonio renvoie la balle » 
de qui vous savez.
Sa modernitude ne laisse pas deviner son âge, hein ?

Seul son esprit politiquement incorrect interdirait de l'écrire aujourd'hui, sous peine de tracasseries 
judico-guignolesques, on a déjà vu ça…

mercredi 8 octobre 2014

Massacre d'Iguala - Septembre 2014


"Iñaky Blanco, procureur de l'Etat du Guerrero, a annoncé que deux membres présumés d'un cartel criminel, alliés à la police locale, avaient avoué avoir tué 17 des étudiants disparus. 
Il a également indiqué que 28 corps avaient été retrouvés près de la ville d'Iguala, dans l'Etat de Guerrero, au sud du Mexique."

Résumé de l'affaire :

Des élèves-enseignants d'Ayotzinapa, école connue pour être un foyer de contestation, étaient venus le 26 septembre 2014 avec des dizaines d'autres du même établissement à Iguala, à 100 km de distance, pour, selon leurs dires, récolter des fonds et manifester. 

Ils s'étaient ensuite emparés de trois autobus des transports publics locaux pour rentrer chez eux.

Des policiers municipaux et des hommes armés non identifiés avaient tiré sur ces autobus, faisant trois morts, et d'autres fusillades dans la soirée avaient fait trois autres morts.

Des témoins ont assuré avoir vu des dizaines d'étudiants être emmenés peu après dans des voitures de police vers une destination inconnue.

Les tueurs auraient fait descendre les étudiants d'un autobus, "se sont emparés de 17 d'entre eux pour les transférer vers les hauteurs d'une colline de Pueblo Viejo (commune d'Iguala), où ils ont des fosses clandestines et où ils disent les avoir abattus", a déclaré le procureur de Guerrero.